Tunisie 1942 - Situation

Des troupes Anglo-Américaines prennent le contrôle de la ville et de l'aérodrome.
Le commandant des troupes françaises se replie vers Constantine, tout en sabotant les voies ferrées derrière lui.

Des troupes Italo-Germaniques débarquent dans la ville.
Face a l'importance des forces de l'Axe, et avec des directives contradictoires les troupes françaises préfèrent se replier vers l’arrière-pays, néanmoins elles sabotent les voies ferrées derrières elles.

La Luftwaffe prend le contrôle de l'Aérodrome Tunis-Al Aouina. Les troupes françaises se mettent en position défensive, mais ont reçu l'ordre de ne pas intervenir.

L"arrivée de renforts Américains dans la ville confirme la prise de contrôle définitive de cette ville par les Alliés

Le commandant Français de Constantine avec ses troupes se rallie aux Alliés.
Ainsi toute la ville, ses infrastructures et l'aérodrome passent sous le contrôle des Alliés.

Les troupes Anglo-américaines se dirigent vers les cols montagneux tout en contrôlant les diverses localités.

Depuis l'Est, deux colonnes Italo-Germaniques vont en direction des cols montagneux, escortées par de l'aviation.

Des négociateurs sont envoyés auprès des autorités françaises. Les Allemands obtiennent que les troupes françaises qui entouraient l'aérodrome, lèvent leur surveillance et rentrent dans leurs casernes, débloquant ainsi les différents axes de communication et laissant la ville libre d’accès.

Depuis Alger, des troupes américaines se sont mises en mouvement vers l'Est, il en est de même pour les troupes de Constantine qui se dirigent vers le front.
La ville-portuaire de Bougie ainsi que son aérodrome, passe sous le contrôle des parachutistes Britanniques.

Alors que les Allemands prennent position a Tabarka et les Alliés au col de Babouch.
Une unité d'infanterie US en chemin vers Babouch est surprise par des Stukas. Les soldats se mettent a couvert le long de la route, et répliquent comme ils le peuvent, en subissant de nombreuses pertes.

Alors qu'un régiment blindé de Hobbart s'approche de Souk-el-Arba, il est pris sous le feu de Panzers et de tirs d'artillerie.

Plus a l'Est, une unité de ravitaillement allemande trouve le pont a l'est de Souk-el-Kebis détruit et tentant de passer par Sidi Felfoul tombe dans une embuscade menée par des Berets verts, coupant ainsi le ravitaillement allemand.

Diverses troupes françaises se dirigent vers les cols de la dorsale montagneuse tunisienne pour les protéger contre le passage de ...?

Les Parachutistes allemands prennent ainsi sans problème le contrôle de Tunis puis se dirigent vers la ville de Medjez-el-Bab.

Malgré la méteo peu clémente, de Nuit les Alliés lancent une opération.
Alors que des Bombardiers RAF font un raid, plus a l'Est des parachutistes sont largués sur Djebel Abiot, ils ont la surprise de tomber sur un convoi de ravitaillement qu'ils détruisent sans difficulté, puis foncent vers Tabarka.

Conjointement depuis Babouch des unités blindées US rejoints par des Hobbarts font une attaque sur Tabarka.

Pris en tenaille, les Allemands résistent malgré tout, car soutenus par la survenue de stukas.

Depuis Souk el Arba, des Panzers à la poursuite des Hobbarts sont stoppés par des champs de mines vers Babouch.

De nuit, le pont de Le Tarf est détruit par des collabos.

Les fallschirmajager allemands arrivent sur Beja, ou ils se trouvent confrontés à des Berets verts retranchés sur place. Une lutte dans les rues de la ville s'engage.

Arrière-pays Algérien

Depuis l'Ouest, les troupes Alliés continuent leur progression pour etablir une liaison avec leur front tunisien.

Cotes Tunisiennes

Des renforts italiens débarquent dans les ports de Sousse et Sfax.

Au Sud, le Matin, des escadrilles de Stukas attaquent les avant-gardes des blindés US ralentissant leurs élans offensifs.

Petite Victoire Axe : + 2 PA (Fritz)
Petite Défaite Alliés: + 1 PA (Karl)

A L'Est les Panzers aidés de Stukas font une percée contre les Parachutistes Britanniques. Et dans leur lancée investissent Djebel Abiot.

Les Blindés US surgissent sur les arrières allemands et les rescapés du 69.PzGr démoralisés se rendent.
Des Rangers provenant de La Calle investissent sans difficulté Tabarka

Les Rangers et Blindés US en ville doivent faire face a une attaque de Stukas. Peu de temps après, des chasseurs anglais alertés viennent intercepter les Stukas.

Un raid de Stukas a lieu sur l'aérodrome, les transports aériens, venant de débarquer des Tirailleurs, sont a la merci des bombes et totalement détruit malgré les tirs de riposte des Tirailleurs. L'aérodrome n'est plus opérationnel.

Ainsi seul, les Berets verts doivent faire face aux Parachutistes Allemands.

L'arrivée de Fusiliers de marine italiens oblige les Berets verts démoralisés à se rendre.

Des chasseurs RAF font un raid sur le régiment de Panzers pour les empêcher de se reposer et renforcer en toute tranquillité.

Les unités Allemandes regroupées dans la zone de Souk-el-Arba sont prises sous le feu de tirs d'artillerie provenant de l'Ouest de leur position.

Un raid de stukas est effectué sur les troupes américaines qui malgré l'aide de leur DCA, sont éreintées et décident de se replier.

Pendant ce temps, un autre groupe de Stukas ayant pour mission de trouver et detruire les Hobbarts Britanniques, surprennent ceux-ci vers Babouch. Les rescapés s'enfuient.

Alors qu'au sol les troupes se renforcent et se remettent des combats des jours précédents, ou s'échangent des tirs d'artillerie.

C'est dans le ciel que se déroulent des combats entre avions Alliés et Allemands.

C'est par surprise que des Parachutistes Italiens prennent le contrôle de l'Aérodrome. En contre partie cela entraine le ralliement au camp Allié, des officiers français de Djidjeli et du Sud de l’Algérie qui étaient encore indécis.

C'est dès l'Aube qu'une offensive est menée par l'Axe sur les troupes Alliées.
Panzers, Infanterie et Stukas sont de la partie, face aux troupes Françaises.

Un très important raid aérien allemand a lieu, où bombardiers stratégiques et Stukas versent un déluge de bombes sur les troupes alliées.

Un régiment Allemand totalement démoralisé se rend et les survivants de l'autre réussissent a se replier vers Souk-el-Kemis.

Dans les airs, les chasseurs se lancent dans une danse d'interceptions et contre-interceptions.

Pendant que stukas et bombardiers allemands déversent leurs bombes sur les troupes alliés du Nord de Souk-El-Arba

Alors qu'au Nord, les allemands reprennent la ville sans difficulté. Plus au Sud, les Fusilliers-Marins Italiens San Marco sont pris en embuscade par un régiment mécanisé US camouflé a proximité du Col de Babouch.

Alors que Italiens et Allemands investissent Le krib, les troupes françaises se replient sous le feu nourri de Stukas.
Par la suite, un raid de bombardiers francais a lieu sur les troupes de l'Axe

Les Spahis Algériens essayent de deloger les italiens, c'est sans compter sur les renforts des troupes du X Mas récemment débarqués qui effectuent une contre-attaque, à leur tour.

Alors que des bombardiers stratégiques français lancent un raid sur Tabarka.
Au Matin, les troupes américaines renforcent leur position au col de Babouch.
Mais dès la Nuit, les italiens et Allemands ont commencé à se replier vers l'Est.

Un raid aérien Franco-americain sur Le Krib se solde par un echec, les troupes ennemies s’étant repliées vers le Nord-Est.

Les Anglo-américains continuent dans leur lancée du jour précédent, et foncent vers Souk-el-Khemis et tombent sur une localité vide de toute troupe ennemie.

Toutefois surgit dans le ciel, une nuée d'escadrilles de stukas et de bombardiers stratégiques allemands, qui déversent sur les troupes au sol un déluge de bombes.

Les Italiens lancent une offensive contre la ville a fin de prendre le dépot, mais malgré les pertes subies le régiment de Spahis Algériens garde sa position.

Peu de temps après arrive, le 168e régiment motorisé américain qui relance une contre-attaque avec les français.
Toutefois les italiens réussissent a repousser celle-ci grâce au renfort fraichement débarqué 118 régiment d'infanterie italienne.

Dès la Nuit commence une opération alliée pour la prise de Beja.
Depuis le Nord et Nord-Est surgissent des parachutistes, alors que depuis le Sud-Ouest arrive des Hobbarts accompagnés d'infanterie, soutenus par des chasseurs français.

Toutefois, convergent vers Beja diverses troupes allemandes. Ainsi les arrières des Parachutistes au Nord de Beja sont pris à partie par des Panzers et des Italiens provenant de Djebel Abiot.

Alors que Djebel Abiot subit un bombardement. Dans le ciel une confrontation entre chasseurs tourne à l'avantage des américains.

Les belligerants effectuent réciproquement des raids de bombardiers.
Puis les Italiens prennent possession de Setif, les francais ayant evacué sans combattre.

Quand les troupes américaines arrivent sur l'aérodrome et la ville, c'est pour constater que les troupes italiennes ne sont plus la. Des avions de transport ayant été aperçu par les locaux, embarquant des troupes de Nuit.
Au Sud, des cavaliers Spahis sont en approche.

De Nuit, les parachutistes italiens se replient vers l'Ouest, subissant un tir d'artillerie et un raid aérien de chasseurs alliés. Les survivants disparaissent dans la nature. Ainsi la ville portuaire est reprise sans problème.

Dans le ciel, un duel aérien a lieu entre chasseurs Allemands et US, ces derniers prennent le dessus.

Les parachutistes disparaissent vers les zones montagneuses, suivis à la trace par les Fusiliers Marins italiens San Marco.

Alors que les Panzers dans leur poursuite des autres unités britanniques sont stoppés par les ponts détruits.
C'est vers Souk el Khemis, que des Stukas arrivent a engager les troupes ennemies qui répondent grace à leur DCA.

Une offensive américaine a lieu au sud de Beja.
Elle est stoppée grâce a la présence a proximité d'unités italiennes qui réussissent a verrouiller les passages ferroviaires de la rivière

Alors qu'une nuée de stukas s'abat sur les troupes stationnées à Feriana.
A l'Est, champs de mines et sabotages de ponts bloquent tirailleurs et infanterie motorisée.

Un regiment italien de Bersaglieri motorisé a franchi la frontiere depuis 2 jours et avance peu à peu vers Gabes.

Suite à la situation critique sur le front Lybien-Egyptien, des unités aériennes (PNJ) ont été retiré de Tunisie pour etre envoyées la-bas.

Poursuivis par troupes Britanniques et des bérets verts, les quelques parachutistes Italiens rescapés totalement demoralisés et affaiblis, se rendent au premier son de tir d'artillerie.

Les Allemands tentent de rejoindre Djebel Abiot mais ils sont stoppés par des champs de mines. Alors qu'une escadrille de chasseurs Anglais attaque le 78.Pzwf qui rejoignait Tabarka.

Une offensive conjointe de rangers et blindés Americains a lieu en direction de la ville.

Entre Souk-el-Kemis et Testour, des échanges de tirs d'artillerie on lieu, alors que divers ponts sont sabotés.

Entre Sidi Felfoul et Zarga, 5 escadrilles de Stukas cherchent les blindés US, mais ne les trouvent pas.
Pendant ce temps, un duel a lieu entre chasseurs américains et allemands.

De Nuit surgissent a l'Est de la ville les parachutistes britanniques qui lancent une offensive conjointe avec les troupes américaines du Sud de la ville.
Les troupes allemandes encerclées tiennent leur position face aux assauts de leurs adversaires.

Alors que les démineurs allemands sont a l’œuvre pour permettre aux troupes blindés allemandes provenant de Beja de pouvoir passer, c'est depuis Tamera que surgit le régiment 15. Panzer sur les arrières des parachutistes britanniques, dont certains totalement démoralisés se rendent.

Chasseurs américains et allemands se lancent dans une danse de feu, ou les alliés prennent a nouveau l'avantage.

C'est en fin de journée que des stukas surgissent depuis le Sud de Souk el Khemis, toutefois une forte présence de defense anti-aérienne les recoit et les repousse.

Un echange d'artillerie a lieu, tandis que des légionnaires reparent le pont.
Dans l'arriere pays des tentatives alliées de sabotage de ponts ont lieu.

Un largage de Berets verts est effectué, mais ils sont reçus au sol par le 118 Regio ejercito DCA et par des chasseurs allemands en état d'alerte

De Nuit commence une importante opération commando de berets verts, toutefois l'advenue de renforts allemands depuis l'ouest et d'italiens debarquant de l’aérodrome permet d'inverser le rapport de force.

Une importante offensive Franco-américaine est temporairement ralentie par l'arrivée de renforts. Toutefois, une unité anti-char allemande, face a la puissance adverse se rend totalement démoralisée.

Les Allemands prennent d'assaut le pont au Nord de la ville, en face les Tirailleurs et Légionnaires français subissent le choc en tenant fermement leur position en ville.

Unités legeres italiennes et allemandes prennent de revers le dispositif allié en pillant et detruisant depots, convois de ravitaillement, et hopitaux

Dans le Sud tunisien, à contrario, c'est les américains et français, qui progressent sans rencontrer de resistance

Le pont à l'Est menant à Tabarka est détruit bloquant l’accès à un régiment italien.
Au Sud une confrontation avantage les forces de l'Axe, les Britanniques se replient laissant sur le terrain de nombreuses carcasses de Hobart's funnies.

Malgré sa situation désespérée le 306. Allemand essaye de résister aux assauts alliés.
Ce siège est fatidique pour les français du 3e de la Légion Etrangère déjà fortement affaiblis par les combats antérieurs.

Les italiens du 15. Regg. Cavaleria de Brescia sont surpris de se trouver face a des blindés US qui les attendent de pied ferme.

Le 76. Reco. allemand est bloqué dans sa progression par la destruction du pont et subit le raid de chasseurs britanniques

Pendant qu'à l'ouest le pont de Douar Zougaba est détruit par des bérets verts, à Bizerte des Parachutistes Britanniques tentent de prendre la ville et font face aux italiens du 279. qui ont pris position dans la cité dès leur débarquement.

Une diversion des résistants oblige le 13. Allemand a sécuriser la ville intra-muros.
Un autre parachutage Britannique a lieu.
Mais grâce à l'aide du 142. italien fraichement débarqué et de Stukas, les combats tournent en faveur des forces de l'Axe.

Au Nord, les parachutistes britanniques résistent.
De nuit, les bérets verts se sont éparpillés vers le Nord et le Nord-Ouest.
Tardivement, les forces de l'axe se lancent a leur poursuite en quadrillant le terrain.
Des Stukas réussissent à en repérer.

Les derniers rescapés allemands qui defendaient la ville se rendent.
En fin de journée, des stukas arrivent. Sous un déluge de bombes des unités alliés se replient.

Une puissante offensive italo-germanique est lancée contre les positions alliées. Alors que certains se rendent ou s'enfuient, les légionnaires français réussissent a tenir leur position défensive.

Au Sud, les américains se sont repliés de nuit vers Gabes rejoint par des troupes francaises, poursuivis par les allemands et italiens.

Un régiment de Panzers est stoppé a l'entrée de la ville par de l'infanterie britannique envoyée en renfort et des blindés US de passage.

Des blindés et chasseurs US lancent une contre-offensive afin de soutenir les légionnaires français et de repousser la percée Italo-germanique.

Alors que les britanniques essayent de prendre la ville, ils se trouvent confrontés a de nouveaux régiments italiens fraichement débarqués. De plus depuis le ciel, des stukas les harcèlent. Les combats sont fatidiques pour diverses unités de par et d'autre.

L'offensive de l'Axe sur la ville de Gabes est contrée grace à des renforts et au prix de la perte d'unités.

Le repli des italiens vers Tabarka se transforme en débâcle suite au pilonnage d'artillerie et raid aérien

De Nuit une importante attaque a lieu contre les Panzers, les quelques rescapés se rendent.

Une rencontre entre italiens et français, tourne au désavantage des français qui trop affaiblis se rendent.

De Nuits, les berets verts se replient vers l'Ouest, toutefois certains en arrière-garde sont rattrapés.

Les francais retranchés doivent faire face à une offensive de l'axe. Heureusement des Bombardiers US ont amorti la puissance de l'attaque.

Quelques allemands infiltrés à court de vivre cherchant a piller le depot de Tebessa, ne peuvent faire face à l'unité de reconnaissance américaine.

Alors que sur terre les allemands se replient, par air ils lancent un raid de stukas sur les troupes alliées pour maintenir une pression sur eux et les empêcher de se reposer.