Carte de Situation [Partie III]

Tour 38





En pleine nuit, Le Mans est prise par de l’infanterie alliée.
Dans le même temps une vaste opération est menée sur Chartres.
Alors que des ponts sont coupé sur la rivière sud, les engins du Hobbart fabriquent de quoi faire passer quelques régiments sur l’autre rive. Un partie des forces blindés contourne la ville par l’est et des renforts arrivent de Dreux. Dans le même temps une unité de parachutiste est larguée sur les arrières sur la route d’Ablis. Alors que les allemands ont prévu de se replier, ils tombent en premier sur cette unité de parachutiste américain. Ayant l’ordre de tenir la position, ceux-ci empêchent les allemands d’aller plus loin au prix de lourdes perte, gagnant du temps pour permettre aux autres troupes alliée ainsi qu’à l’aviation d’arriver en renfort.
Un pilonnage d’artillerie et aérien précède l’assaut des allemands qui se trouvent encerclés.
C’est une victoire historique des alliés qui anéantissent les forces allemandes et ouvre la voie vers Paris.

A partir de l’aube, les allemands lancent une offensive en bretagne. Mais où que partent les axe d’attaque, les unités sont bloqués par des champs de mines.

A midi, une escadre de bombardiers stratégique allemand survole le groupe victorieux allié près de Chartre et le bombarde à haute altitude.

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Camp allié : 2PA + 4PAG (prise Le Mans), 1PA + 2PAG (prise Chartres), 2PAG (victoire historique)

Nemes, Ellys, pilou : 6PA (victoire historique)
Joukov : 6PA (perte 2 unités)

Tour 39





En cette journée orageuse il n’y a aucun combat à déplorer. Les seuls mouvements majeurs sont des redéploiements alliés en direction du Mans et d’Orléans qui est à nouveau libérée.
En Bretagne l’offensive traîne des pieds à cause des hésitations que provoquent les éventuelles présences de champs de mines.


Camp allié : 2PA +4PAG (prise Orléans)

Tour 40





De nuit, les alliés font un bombardement aérien en bretagne sur les 11. Korp et 7.Pz CC. Dans les deux cas les bombardements sont un succès.

Au matin, venant du Mans, les alliés avancent vers Laval, les unités motorisées rattrapant les troupes à pied parti dans la nuit. Elles arrivent aux portes de la ville.
A Orléans, l’aviation allemande arrive pour attaquer les alliés en place. L’aviation alliée qui patrouille arrive un peu plus tard en renfort. La chasse allemande prend la relève pour laisser les bombardiers et stuka fuir. C’est une grande victoire de l’aviation alliée mais les pertes sont lourdes des deux cotés et de nombreuses carcasses de chasseurs de tout camp jonchent la campagne orléanaise.
Durant ce temps, une escadre de chasseurs allemands se dirige sur Rouen pour attaquer les blindés mais ne trouve que des cibles en bois et caoutchouc.

Sur la côte de Dieppe, les allemands continuent une lente progression en direction du Havre.

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Vincent, nemes, ellys, pilou : 4PA (grande victoire)

Tour 41





De nuit, un raid de bombardiers tactiques détruit le pont flottant installé à Rouen.
Dans le même temps, un groupe de bombardier stratégique bombarde à basse altitude le 11. corps allemand. Un autre groupe survole le secteur à la recherche d’un régiment de SS mais ne le trouve pas.
Les alliés proche de Laval prennent la ville et récupère le dépôt qui a juste pu être légèrement endommagé avant la fuite des panzers. Rennes semble à présent grandement menacée.
A Orléans, les alliés se séparent et se dirigent en partie vers Chartres et d’autres avancent dans l’Essonne.
Les allemands eux restent fortifiée en région parisienne.


Camp allié : 2PA +4PAG (prise Laval)

Tour 42





Au matin, les allemands venant de la région parisienne partent vers l’Essonne et le Gâtinais. Aidés par une escadre de chasse par attaque, ils repèrent et attaquent les 2th hobbart et 12th cavalry. L’attaque sur le 2th Hobbart est un large succès, en revanche la 12th cavalry résiste.

En Bretagne, les allemands quittent leurs positions de nuit, tandis que les alliés approchent de Rennes. Le dépôt au sud de Rennes est saboté puis bombardé par les alliés. Il n’en reste rien. Le 17 PzSpW qui quittait ce lieu tombe en route sur un groupe de quatre régiments alliés. C’est une grande victoire des alliés.

A fougère, deux régiments d’infanterie alliée tombent sur le 11. Korp qui y faisait une halte durant son déplacement. C’est une victoire écrasante du korp allemand et l’infanterie alliée est repoussée sans soucis.

Camp axe : 2 PAG (victoire écrasante)
Von Berther : 5PA (victoire écrasante)
Pilou, vincent62 : 4PA (grande victoire)

Tour 43





De nuit, trois régiments d’infanterie allemande attaquent le 2th Hobbart.
La 12th cavalry de sont coté est attaquée par un régiment de panzer et deux d’infanterie mécanisée. Cette fois si le régiment allié est écrasé et perd presque un quart de ses effectifs.
C’est une petite victoire des allemands mais les dégâts sont minimes.
Plus tard dans la matinée, l’aviation allemande revient sur ses unités. Ce sont deux victoires des appareils allemands qui endommagent un peu plus les blindés alliés.
Chartres subis un bombardement à haute altitude provoquant quelques dégats.
Le 12th corps alliés continue sa progression dans l’Essonne et est stoppé à l’entrée d’Etampes par un champ de mines.
En Bretagne, tandis qu’un régiment de panzer est évacué par avion à Rennes, le reste des troupes tente de s’enfuir mais il n’existe qu’un seul passage, par Le Teilleul, tous les ponts sur les rivières étant détruit ailleurs.


Joukov, Von Berther : 2PA (petite victoire)
Freimann : 6PA (moyenne victoire)

Tour 44





De nuit, un groupe de bombardiers tactiques alliés attaque les positions du 7th Pz CC. Trop épuisé pour partir de nuit, il subis l’attaque plein fouet et ne peut la supporter. Les panzers restant se rendent à l’unité alliée la plus proche.
Un sort semblable attend le 11th korps. Se forçant à partir de nuit, épuisant ses dernières réserves, il subit un bombardement à basse altitude de bombardiers. Encore une fois les survivants affamés et sans munitions préfèrent se rendre à la première unité alliée rencontrée.
Seul le 35.SS tente de poursuivre la route vers le nord pour passer la rivière.

Rennes est prise tandis que les alliés remontent au nord, certain se prenant un champ de mine qui les interrompt dans leurs mouvements.
Le 14th Supply allemand est attaqué et ne pouvant s’opposer correctement se repli après avoir perdu une partie de son matériel.

Dans la nuit dans le secteur d’Orléans, les allemands bougent pour mener des attaques mais les alliés font de même. La 12th cavalry n’est pas trouvée par les forces de Montargis qui subissent un bombardement à basse altitude, tandis que le 2th Hobbart se replis à l’arrivée des allemands. A la place surviennent des unités alliées en masse venue surtout du secteur de Chartres dont le 12th Corps. L’aviation allemande l’ayant suivit pour attaquer vois surgir toute l’aviation alliée en renfort, et se replie dont avant d’engager le combat, laissant seules les trois régiments d’infanterie allemande.
Les allemands n’avaient aucune chance. Un régiment se rend, les autres partent en déroute.

De nuit un parachutage a lieu dans le secteur de Nemours, mais les soldats disparaissent aussitôt dans l’obscurité et ne sont pas repérée.

Dans la journée, un bombardement à haute altitude à lieu sur le seul régiment restant à Dreux, l’autre n’étant qu’un leurre.

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Camp allié : 3PA +3PAG (prise objectif Rennes), 2PAG (victoire historique)
Nemes, Vincent, Ellys : 6PA (victoire historique)

Tour 45

De nuit, le dépôt de Villedieux déjà partiellement endommagé, est saboté définitivement par les résistants.
Les deux régiments allemands du secteur se font attaquer. Le 50. Inf est attaqué par la 901th infM Art qui remporte le combat. L’infanterie allemande se rend.
Le 35.SS subit l’assaut de la 28th Inf Div et une escadre de bombardiers tactiques qui remporte aussi le combat, faisant se replier les SS.
De nuit des mouvements se font dans l’Essonne et le gatinais. Les deux infanteries allemandes font un repli prudent vers leur ligne en évitant les combats.
Les troupes à l’est d’Orléans se replient également évitant de peu un bombardement et une attaque massive alliée, hormis un régiment d’infanterie mécanisée dans l’impossibilité de partir de nuit, se retrouve bloqué dans les combat et se rend presque immédiatement.
Alors que l’aviation allemande vient dans le secteur pour mener une attaque au sol, ils repèrent l’aviation alliée en patrouille et devant le nombre d’appareil présent la Luftwaffe fait demi tour avant d’engager le combat.

Dans la journée, la majorité des troupes alliées de Bretagne sont redéployées en train en direction de Chartres.

En fin de journée, les allemands s’avancent vers Dreux. Les éclaireurs ayant détecté une unité en place et s’être empêtré au milieu de mines, le reste des forces se replient à leur position de départ.


Aldary : 3PA (perte 1 unité)
Sophie : 3PA (perte 1 unité)


(désolé pour le retard, mon écran a claqué hier, j'ai du me débrouiller pour en acheter un autre, je viens seulement de l'avoir).

Tour 46





De nuit, les allemands proches de Nemours quittent leur position. Mais ils sont interceptés par surprise par un régiment de parachutiste qui était camouflé dans le secteur. Le combat s’engage le temps que les renforts alliés arrivent. Ceux-ci viennent en surnombre de tout coté. Les allemands sont forcés de se rendre.

A Sourdeval, la dernière unité allemande se fait attaquer et est anéantie.

A La Ferté Allais, les allemands tentent une offensive mais les blindés sont bloqués par des miens tandis que les alliés sont déjà partis.
Il en est de même pour le 4th SSF, le seul régiment de panzer attaquant faisant alors demi tour.

Du coté de Dreux, la Luftwaffe évite encore le combat après avoir repéré la DCA et la présence des appareils ennemis. C’est encore une mission de nuit pour rien qui fatigue un peu plus les pilotes.

La porte de la Bretagne est ouverte, plus aucune force allemande ne semble en mesure de s’opposer à la progression alliée vers l’ouest et Saint Malo est prise.

Camp allié : 2PAG (victoire historique), 2PA +4PAG (prise Saint Malo)

Ellys : 6PA (victoire historique)

Tour 47





A l’aube, la 92th inf subis un bombardement d’artillerie avant d’être attaquée par un groupe de blindés et des SS. C’est une grande victoire des allemands qui repoussent l’infanterie alliée. Mais l’attaque entraîne une réaction immédiate dans les rangs alliés. Les troupes de Nemours se mettent en branle et tandis qu’une partie vient s’installer près de Melun, les blindés contre-attaque à Etampes. Les allemands ne peuvent rien faire contre quatre très bons régiments de blindés anglais et se font balayer et partent en déroute.

Dans la matinée à Beauvais, alors que l’aviation décolle, un commando britannique s’infiltre dans le secteur de l’aérodrome et sabote la batterie de DCA.

Au matin, l’aviation allemande se regroupe au sud de Paris pour aller attaquer les alliés. Ils entament le combat mais les patrouilles alliés se recentre vers la zone et plusieurs combats aériens ont lieu tant la densité des appareils est importante. L’avantage tourne aux alliés.
Un raid de bombardier tactique réussi à passer et à lieu sur le dépôt de Goussainville qui est mis hors d’usage. En survolant l’aérodrome du Bourget en observant les troupes présentes, ils sont pris à parti par la DCA avant qu’il ne s’enfuie. Les autres bombardiers lourds sont interceptés dans les combats.

Camp allié : 2PAG (victoire historique)
Aldary : 4PA (grande victoire)
Ellys : 6PA (victoire historique)
Nemes, Ellys, Vincent : 2PA (petite victoire)
Joukov, Freimann : 1PA (petite défaite)

Tour 48





De nuit, les troupes allemandes des Ullis subissent un bombardement aérien à haute altitude.
Dans la matinée, pendant qu’une partie des troupes alliées s’avance à proximité des Ullis, un bombardement d’artillerie précède une attaque massive composée surtout de blindés britanniques. L’attaque est soutenue par la chasse alliée. La victoire est largement à l’avantage des alliés qui prennent la position. La plupart des régiments allemands se rendent sauf les SS et des blindés qui se replient.
A la suite du combat, un régiment de blindés légers va s’emparer du dépôt de ravitaillement situé dans le secteur coupant tout approvisionnement de la région parisienne.
A Evry, le 12th corps attaque les positions allemandes. La Luftwaffe vient en renfort des troupes au sol. C’est une petite victoire des défenseurs allemands qui restent en place.
A Moissy, l’aérodrome est pris par les alliés, une partie de l’aviation allemande quitte le front par manque de place sur les pistes proches des zones de combat.

A Avrechy au nord de Paris, le commando britannique s’attaque au dépôt de ravitaillement pour l’endommager mais ça ne suffit pas à stopper sa production.
On rapporte un largage allié au sud-est d’Amiens.

En Bretagne, un régiment blindé s’avance sans problème vers Saint Brieuc pendant que l’unité de ravitaillement subis une attaque aérienne.

Camp allié : 2PAG (victoire historique)
Sophie : 3PA (perte 1 unité)
Ellys, Nemes, vincent : 6PA (victoire historique)
Vincent : 3PA (victoire moyenne)

Tour 49





A l’aube, alors que l’aviation allemande décolle des aérodromes, les stukas d’Amiens se font intercepter par un groupe de chasseurs alliés. La chasse alliée n’a aucun mal à abattre les stukas allemands dont les effectifs sont bien réduits de moitié.
A Avrechy, les commandos britanniques sabotent à nouveau le dépôt, le rendant inutilisable. En même temps l’aviation qui avait décollée, hormis les stukas, va dans leur direction et les engage. Les bérets verts ne peuvent tenir et se replis.

S’approchant de Versailles, les alliés bombardent le groupe allemand par artillerie et voie aérienne. Deux régiments d’infanterie allemande se rendent.
La 7th cavalry s’empare de Saint Brieuc en détruisant l’unité de support. Une fois la ville prise, elle se redéploie en train en direction de Caen.

On relève un nouveau parachutage qui a eu lieu au nord d’Amiens, alors qu’un sabotage à lieu sur la batterie de DCA à proximité de l’aérodrome.

Joukov : 6PA (perte 2 unités)

Tour 50





A l’est de Paris, les alliés mènent une série d’offensives meurtrières pour les forces allemandes.
Evry est prise sans difficultés. Le régiment de SS de Lognes est détruit. A Chelles, un régiment de panzer et un de SS sont annihilés.
A l’ouest de Beauvais, deux régiments d’infanterie motorisée attaquent la position des commandos britanniques. Ceux-ci ne peuvent résister et se rendent.
A Amiens, des parachutistes aidé de bérets verts attaque la ville qui se défend avec son aviation. Mais cela ne suffit pas et les troupes au sol arrivent à prendre l’aérodrome.
A Versailles, les troupes allemandes subissent un bombardement d’artillerie dès la nuit. Après qu’un régiment de panzers légers ai quitté la zone, les alliés lancent en fin de journée une attaque massive sur les troupes de Versailles, les attaquant par plusieurs fronts. Les supériorités alliées est nette, surtout que les régiments de panzer ne sont que des leurres. Deux régiments d’infanterie se rendent, les SS se replient vers le nord.
Après la bataille, la 901th inf motorisée rentre dans la capitale.
Vu les débâcles de la région parisienne, l’OKW donne l’ordre de repli général vers le nord et l’est afin d’aller se fortifier en Belgique et derrière la ligne Siegfried. Ainsi se clos la bataille de Normandie, les alliés ont à présent le temps de poursuivre leur avancée et de consolider leurs arrières d’ici aux prochains combats avec les lignes allemandes.


Fin de partie. Victoire alliée