Carte de Situation [Partie II]

Tour 14






Durant la nuit, les allemands du coté de Carentan font des manœuvres pour bloquer les infanteries qui se dirigeaient vers Saint Lô. Les alliés se font attaquer par des panzer et des SS. C’est une victoire écrasante allemande. Saint Lô est reprise par les allemands qui passent en vitesse. Les alliés qui avancent dans les terres sont coupés de leur ravitaillement et vivent sur leur réserve.
De lourd mouvement de troupes ont lieu du coté de Rouen. Aussi bien chez les allemands que chez les alliés ça bouge. c’est à mi-chemin entre les positions allemandes et Rouen que tout le monde se rencontre. Les alliés de Rouen sont venus, avec l’aide du 86th Para sur leur flanc et du 298th BdM et 133th Inf par les arrières. La rencontre étant prématurée, les allemands n’ont pas eu le temps de se déployer selon leur plan. Mais la Luftwaffe vient en renfort, tandis que deux escadres de la RAF participent au combat. La bataille dure toute la matinée et les combats sont durs. Mais cela fini par une petite victoire allemande grâce aux blindés et à l’aviation. Malgré tout c’est une victoire amère, ils ont subis pas mal de pertes surtout dans l’infanterie.

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PA gagné :
Camp axe : 3PA 3PAG (prise objectif Saint Lô)
Hurudel, Ocatarinabella : 4PA
Schreiner, Shultz : 2PA

Tour 15





Les alliés engagés dans la campagne normande se replient vers le sud-ouest mais ne peuvent aller jusqu’au bout car le chemin est long. Une forte activité de la royale navy est repérée du coté d’Avranche. Les allemands qui voulaient les attaquer arrivent trop tard et reviennent sur leur position.
Du coté de Rouen, les allemands se replie vers le nord est tandis que les alliés font une attaque sur le 66th. Celui fuit dès l’arrivée des troupes, évitant le combat.
Deus escadres de bombardiers tactiques viennent bombarder Carentan ou il ne reste que les SS. La chasse allemande intervient avec un groupe. C’est une petite victoire allemande néanmoins les SS n’ont pas pu se reposer du coup et perdent un peu plus de force.
Sur le reste du front tout est calme, il n’y a pas de combat à signaler.

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PA gagné :
Schreiner : 2PA (petite victoire)
Hjok : 1PA (petite défaite)

Tour 16





Vu la tempête, le front est calme niveau combat. Hormis des déplacements de troupes difficiles, rien n’est à signaler, aucun combat. La plupart des armées préférant prendre un jour de repos à l’abri.
Les alliés en fuite vers Avranches sont en position critique. Leurs vivres arrivent à leur fins. Si rien n’est fait ce sera une catastrophe monumentale.

Tour 17





De nuit, dans la poche d’Avranche, les alliés se mettent en branle pour évacuer et engage un embarquement d’urgence. La Luftwaffe leur tombe quand même dessus durant les préparatifs.
C’est une victoire alliée et les défenseurs tiennent le coup sous les attaques. Lorsque les troupes au sol allemandes arrivent ils sont parti.
Au nord de Rouen, les alliés mènent une offensive mais les allemands s’échappent vers l’Est.
Une opération aéroportée à lieue sur la ligne Lisieux –Brionne. Les parachutistes US prennent les villes et sécurisent leurs positions.

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PA gagné :
Ocatarina, Hurudel, Rejuvenator : 1PA (débâcle adverse)
Camp allié : 3PA +3PAG (prise objectif Saint-Martin-Osmanville)

Tour 18






Au petit matin, les parachutistes se mettent en mouvement, en même temps qu’un autre largage à lieu sur Brionne. Une ligne de progression est formée est presque en liaison avec les reste des troupes alliées. A partir de Rouen et des environ, les alliés progressent selon deux axes offensifs. Il est évident qu’ils ont du installer un pont flottant au niveau de la ville.

Les allemands d’Avranches rebroussent chemin ou vont à Saint-Malo prendre le train pour se reployer.
Ils progressent également vers Cherbourg, certain s’arrêtant avant de combattre car venant de plus loin.

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Camp allié : 3PA +3PAG (prise objectif Menneval)

Tour 19





De nuit, c’est toute la Luftwaffe qui se jette sur le régiment devant Dieppe. Le régiment allié est écrasé et se replie abandonnant l’idée de prendre la ville.
Dans le même temps une plusieurs explosions se font entendre dans la région d’Evreux. La résistance fait sauter tout le pont de la rivière entre Evreux et la Seine, ainsi que deux autre ponts à Vernon et Cournay.
Du coté du 9th corps, des compagnies de sabotage sont envoyés à Neuchatel en Bray. Elles y font sauter les ponts et reviennent sur leurs positions.
Les allemands eux se préparent à un peu plus tard à mener une attaque. Le 9th corps se prend auparavant un bombardement d’artillerie. Des positions défensives le protègent de l’effet de tenaille mais ça reste une grande victoire allemande vu leur supériorité numérique.
L’infanterie part en déroute, les blindés les suivent.

Dans le secteur du Cotentin. Les allemands s’éparpillent depuis sainte mère église.
Les éclaireurs du 64th BdM sont pris à parti par des bombardiers tactiques alliés escorté de chasseurs. Dans le même temps un bombardement d’artillerie venant de Saint Sauveur à Lieu sur Sainte Mère Eglise. Les escarmouches aériennes arrivent à faire du dégât. C’est une victoire alliée.
Quand le 666th Panzer arrive sur la position du 325th, il est déjà parti.
Les troupes qui sont revenues en Angleterre, reprennent la mer vers la France.

Sur l’Axe Havre-Lisieux, les alliés progressent. Un pont flottant est tenté pour passer vers Honfleur, mais l’embouchure de la Seine est trop large et il y a trop de courant, le pont craque avant même d’être fini, emportant les morceaux au large.

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Camp allié :
Camp axe : 1PAG (victoire écrasante)
Largo, Hjok : 3PA (victoire moyenne)
Schreiner : 5PA (victoire écrasante)

Tour 20






De nuit, les deux régiments de panzer du Dieppe attaquent la 105th Inf. Déjà fatiguée, l’infanterie se fait décimer. Les quelques survivants se rendent.

Dans le même temps, ça bouge du coté de Pont l’évêque. Des bombardiers tactiques attaquent les allemands en placent. Il se font repousser et ne peuvent les maintenir longtemps en place. Les allemands se mettent en branle vers le sud. Des parachutistes US sont largués à Beuzeville et des ponts commencent à être détruit à Lisieux mais il y en a trop pour tout faire rapidement. Le combat entre les allemands et les alliés à lieu un peu au nord de Lisieux, les alliés étant allés vers eux. Le combat tourne légèrement à l’avantage des allemands qui ont des troupes en excellent état mais ce n’est pas tout. Les allemands venant de Caen ayant prévu d’attaquer Lisieux arrivent sur la ville vide et apprennent que le combat est à quelques kilomètres au nord. Ils rejoignent donc la bataille. L’ajout de 3 divisions et de panzers leur donne largement la victoire. Lisieux a été reprise et les alliés se replient.

Au petit matin, les allemands à l’est de Rouen attaquent la ville après l’avoir bombardée durant la nuit. Le moral des alliés est extrêmement bas avant la bataille. Malgré le soutient d’avions de la RAF et d’infanterie stationnées à proximité de la ville, c’est une victoire écrasante allemande. Le 9th corps est anéanti.

Des collabo détruisent les ponts depuis le sud du Havre à Les Andelys. Le pont de Beudebecq en Caux est détruit par des Stuka. Il n’y a plus aucun pont de debout de la mer à cette ville sur la Seine.

Les allemands poursuivent leur avancée dans le Cotentin, s’emparant de Valogne avec le soutient de chasseurs quasiment sans résistance. Cependant les alliés reçoivent du renfort lourd dans le port de Cherbourg ainsi qu'au Havre. Les allemands ont également un nouveau corps qui viens d’arriver en défense de Paris.

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Camp axe : 3PA + 3PAG (prise objectif Valogne) +3PAG (victoires écrasantes), 3PA + 3PAG (prise objectif Rouen), 3PA + 3PAG (prise objectif Lisieux)

Low : 5PA (victoire écrasante)
Schreiner : 5PA (victoire écrasante)
Zoukov : 4PA (grande victoire)
Hurudel : 5PA (victoire écrasante)

Tour 21





Les mouvements commencent tôt, trop. Les hommes n’ont pas pu dormir longtemps qu’ils ont été dérangés par leurs officiers en pleine nuit pour se bouger le cul un peu partout sur le front.

Du coté du Cotentin, Cherbourg subit un bombardement à basse altitude par des bombardiers allemands. Les bombes incendiaires pleuvent et embrasent la ville et les troupes stationnées. Les bombardiers se prennent pas mal de dommages mais l’absence de réelle batterie de DCA efficace les sauve grandement.

Pendant ce temps, les allemands de Valogne se replient, abandonnant la ville. Celle-ci est reprise un peu plus tard par les alliés. Les bombardements sur la ville ayant lieu au petit matin, elle est déjà vide.
Le 8th corps allié et le 84th d’inf attaquent saint sauveur le Vicomte pour leur part. Les allemands qui s’y sont concentré se battent férocement sous le contrôle des SS. Les allemands disposent de panzer alors que les alliés n’ont pas de blindés. Fatigué des bombardements, et pas assez équipés, finalement les alliés plient et se retirent. C’est une victoire écrasante allemande et une catastrophe pour les alliés. Le 8th corps se rend !

Du coté de Lisieux, tout le monde bouge en même temps et rien ne se passe comme prévu. Il n’y a aucun combat à Thiberville ou à Beuzeville. En revanche à Brionne, alors que les allemands s’approchent de la position, les alliés venant de Thiberville arrivent sur la ville. Les deux camps font appel à leur aviation pour la bataille qui s’annonce difficile dans l’obscurité.
Les troupes terrestres allemandes sont placées en tenaille autour de la ville.
C’est une victoire allemande. L’infanterie alliée se prend de lourds dommages, les 72th InfMC génie et 102th Ranger sont détruit, d’autres sont en déroute.

Un groupe de Stuka fait un survol de la Seine pour vérifier la présence de ponts mais il n’y a rien.

Plus ordres sont gênés par l’absence de pont sur la Seine. Pourtant cela avait été signalé que plus aucun pont ne subsistait de la mer à Les Andelys, mais les feuillets ont du se perdre dans les QG…

Les parachutistes du 82th trouve une usine d’armement allemande vers Magny en Vexin, et se replie vers Rouen sur la rive sud de la Seine.
Les blindés alliés aussi se replie jusqu’au reste de leurs troupes.

Un bombardement d’artillerie à lieu sur Rouen. La ville est en partie en ruine à force des combats (niveau 1)

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Camp axe : 1PAG (victoire écrasante)
Camp allié : 2PAG (mission destruction d’usine)
Ocatarinabella, Rejuvenator : 5PA (grande victoire)
Nemes : 3PA (perte d’une unité)

Tour 22






De nuit, des résistants font sauter des ponts sur le Risle, bloquant du coup le déplacement du 10th panzer dans la journée.
Dans le même temps, un bombardement aérien à lieu sur le corps d’armée de Yvetot.
Ce même corps reprendra Rouen sans résistance plus tard dans la journée, les allemands s’étant retirés. Mais ils se prennent un second bombardement, d’artillerie cette fois.

Dans la nuit, les panzers du 99th se prennent un bombardement d’artillerie. Au départ pour attaquer les parachutistes, ils ne les trouvent pas.

Au petit matin, les alliés du Cotentin lancent des bombardements sur les positions allemandes. Mais ceux-ci ont retraité durant la nuit. L’aviation allemande circule dans le secteur et attaquent la 23th Division d’infanterie qui est isolée. Les soldats ne peuvent se défendre cotnre autant d’avion, c’est une grande victoire de la luftwaffe. Les pertes sont considérable chez les soldats.

Un combat à lieu au niveau de Brionne, les alliés attaquent les allemands alors qu’ils quittent la ville, mais les allemands ont attendu les renforts de Thiberville avant de partir.
Par conséquent c’est une victoire moyenne allemande. Les alliés retraitent. Le 298th BdM se rend.

La 5th Panzer division attaque Elbeuf où sont retranchée 3 infanteries. Ma la force offensive des blindés a raison d’eux. C’est une grande victoire.

En fin de journée, deux escadres de chasseurs de la Luftwaffe survolent la Seine. Ils y rencontrent deux escadres de la RAF. Les appareils anglais sont moins nombreux mais ils se battent férocement. Après quelques échangent, les appareils retournent à leur bases, avec un avantage pour les allemands

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Camp allié : 1PA +2PAG (prise Rouen)
DazF : 3PA (perte 1 unité)
Schreiner : 2PA (petite victoire)
Ocatarinabella : 3PA (victoire moyenne)

Tour 23






Durant la nuit, les allemands mènent une offensive dans le secteur de Rouen. La ville est bombardée par de l’artillerie. Le corps d’armée alliés préfère se replier.
Dans le même temps, les bombardiers stratégiques allemands font un passage au dessus de Bourg-Achard. Certain régiments alliés venaient de partir et évitent de justesse le bombardement, mais le reste se le prend de plein fouet. Dès le bombardement fini, les allemands de Brionne sont aux portes de la ville et attaquent aidé de l’aviation. C’est un massacre des 5 régiments restés sur place. La victoire est totale, il n’y a qu’un seul régiment survivant, le 86th Airborne qui se replie. Les autres sont détruit ou se rendent.
Tout le secteur est évacué des survivants alliés qui passent sur la rive nord à partir de ponts récemment construit.

Les allemands bougent également de nuit dans le Cotentin.
La 23th Division d’infanterie alliée se fait encercler et attaquer. Les panzer et l’infanterie ont raison de la division fatiguée. Elle est détruite.

Le I.StG Gruppe survole la Seine pour détruire les ponts mais est intercepté par la chasse alliée et la DCA des troupes au sol à Duclair qui protègent les ponts. Les alliés arrivent à les repousser, énormément de Stuka sont abattu. Toute intervention des collabo dans le secteur est annulée vu la forte présence ennemie.

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Camp axe : 2PAG (victoires écrasantes), 1PAG (coordination généraux)
DazF : 20 PA (perte totale)
Schreiner, Hurudel : 5PA (victoire écrasante)
Schreiner : 1PA (bombardement stratégique réussi)
Ocatarinabella, Rejuvenator, Gruber : 5PA (victoire écrasante), +1PA (coordination généraux)

Tour 24







De nuit, les unités d’Yvetot subissent un bombardement stratégique.
Dans le même temps les alliés veulent faire sauter leur pont sur la Seine. Mais à Caudebec, la luftwaffe fait un raid qui élimine le régiment allié avec le génie. En même temps les allemands avancent depuis Bourg-Achard et passent le pont.
Le 82 para s’enfonce de plus en plus dans le Vexin. Ses réserves de vivres arrivent bientôt à bout. Un raid de stuka à lieu sur leur ancienne position mais il ne sont pas trouvé dans les environs.
Les alliés restant de Duclair sont en position critique entre les forces allemandes qui ont avancées.

Dans le cotentin, les allemands passent à l’offensive.
Valogne est prise et une partie des troupes attaque Cherbourg. L’assaut est précédé d’un tir d’artillerie sur la ville qui passe en ruine de niveau 1. C’est une grande victoire allemande. L’infanterie alliée se concentre sur le port et l’est de la ville tandis que le reste tombe aux mains des allemands.

Dans la journée, des panzers longent la cote et reprennent la ville de Fécamp. Des bombardiers tactiques attaquent ces panzers. Mais leur puissance de feu est insuffisante pour leur faire des dommages.

Un régiment de moto éclaireurs allemandes foncent sur Rouen et reprend la ville.

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Camp axe :
Prise Fécamp : (1PA + 2PAG)
Prise Rouen : (2PA + 4PAG)
Prise Valogne : (1PA + 2PAG)
Schreiner : 1PA (bombardement réussi), 3PA (victoire moyenne)
Rejuvenator : 4PA (grande victoire)

Tour 25






C’est une nuit meurtrière en Normandie. Un peu partout les combats font rage dans le noir quazi complet.

Sur le front de Rouen, l’aviation anglaise intervient vers Caudebecq. Ils font sauter le pont et attaquent les troupes en place non loin.
C’est une victoire allemande, l’aviation alliée subit des dommages.
A la suite de ça, les alliés mènent une grande offensive sur plusieurs front pour détruire les unités de Caudebecq. Ils sont deux fois plus nombreux et attaquent en tenaille.
C’est une victoire écrasante alliée. Les dégats sont considérable chez les allemands et très minimes chez les alliés. Les régiments allemands qui étaient solides, arrivent à se frayer une voie de sortie pour fuir le combat.

Les parachutistes enfoncés dans le Vexin vont pour prendre l’aérodrome d’Etrepagny mais ça devait être une fausse information, il n’y a pas l’ombre d’une piste valable proche du village.

Du coté de Cherbourg, les alliés préparent l’évacuation de nuit par voie aérienne.
Les troupes défendent l’aérodrome pour couvrir l’évacuation. Dans le même temps, un petit groupe d’allemands l’attaquent. Avec l’aide de la chasse allemande, l’assaut est victorieux. Les allemands prennent l’aérodrome et les transports (les quelques qui arrivent à échapper à la chasse) quitte le secteur.
Dans la matinée Cherbourg est prise par les allemands sans combat.

A l’est de Duclair, les allemands montent à l’attaque mais se trouve face à un champ de mines et stop leur progression.


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Camp allié : 1PAG (victoire écrasante)
Camp axe : 3PA +3PAG (prise objectif Cherbourg)
Linkrouge, DazF, Largo : 5PA (victoire écrasante)
Schreiner : 3PA (victoire moyenne)

Tour 26






Dans le secteur du Havre, tout se passe de nuit, alors que la pluie tombe.
Les alliés quittent leurs positions pour encercler les allemands pendant que dans le même temps ceux-ci s’éclatent en plusieurs directions de fuite. Les panzers sont pris à parti par des bombardiers tactiques alliés qui leur infligent quelques dégâts.
En pleine nuit, sous la pluie, à raz du sol dans le bocage, la visibilité est très mauvaise. Durant les déplacements des régiments entiers passent à moins de deux kilomètres sans même se voir et se croisent sans combattre.
La Luftwaffe décolle pour faire un raid. Ils se concentre sur le premier groupe d’allié trouvé composé du 12th ranger et 103th, 56th et 82th airborne. C’est une grande victoire allemande sur ce groupe. Les attaques vers le sol combiné à un bombardement fait de gros dommages dans l’infanterie qui part en déroute.

Pour la poche de Cherbourg, le gouvernement britannique à reçu une demande d’évacuation des troupes. Toute possibilité de redéploiement maritime avait été suspendu, sauf dans un cas d’extrême urgence pour rapatrier les troupes en Angleterre comme c’est le cas ici. L’évacuation commence donc de nuit en urgence sur les plages de Cosqueville. Pendant ce temps le 84th Inf se charge de retenir l’adversaire le plus longtemps possible. Les débris de troupes restante ne mettent pas des plombent à embarquer, mais le sacrifice du 84th aura été nécessaire. Les survivants sont en route pour l’Angleterre.

Des résistants font sauter des ponts vers Saint Valery en Caux, mais ça ne ralenti pas les allemands qui ne passaient pas par là.

A partir de Rouen, les allemands voulaient prendre la route mais les démineurs sont encore sur le champ de mines. Le déminage prend le reste de la journée.


Schreiner : 4PA (grande victoire) +1PA (bombardement réussi)
Ocatarinabella, Grüber : 1PA (ennemi en embarquement d’urgence)

Tour 27






Dans le secteur du Havre, tout le monde se déplace de nuit en particulier les allemands.
L’aviation est aussi de la partie avec deux combats notable. Le plus important concerne la luftwaffe en prise avec une bonne partie des troupes alliées placé dans le méandre de la Seine ainsi qu’une escadre de chasseurs venu défendre le secteur. C’est une petite victoire allemande mais les dégâts dans les troupes au sol sont important. La chasse alliée se fait découper en morceau, seulement la moitié des appareils rentrent en Angleterre. Deux régiments alliés partent en déroute vers le Havre.
L’autre combat concerne un bombardement stratégique du 12.InfM Div. Les troupes déjà éprouvées ne tiennent pas et se rendent à la première garnison rencontrée.
La plupart des unités allemandes sont en fuite dans le coin. La 13.inf Div artAC part vers l’est et tombe sur un champ de mines dans la campagne au sud est de Yvetot.
Les 11. Pz et 33.PzSpW s’enfuient dans la campagne entre Yvetot et Fauville en Caux.
La 23. SS PzG Div s’enffuit vers le nord ouest sans problème. Toutefois ils sont pris à parti plus tard dans la journée par la 1st et 2nd inf Div venant du Havre. Les SS se font tuer jusqu’au dernier.
Le groupe de panzer attaque Bolbec après s’être pris un bombardement qui ne leur a rien fait. Ils écrasent la défense et prennent la ville. Les infanteries partent en déroute. Un peu plus tard une contre-attaque alliée à lieue avec pas mal de blindés alliés et des rangers. C’est une victoire écrasante alliée. La résistance des panzers est farouche, ce sont de bons régiments. Ils infligent de gros dommage dans les sherman alliés. Deux régiments de blindés alliés partent en déroute à la suite du combat.
A partir de Rouen, les allemands se dispersent vers les lignes alliées, mais ils se font tous arrêter par des champs de mines placées un peu partout sur leur route. Ceux arrivant vers Caudebecq sont accueillis par un bombardement d’artillerie.
Les parachutistes alliés dans les lignes depuis longtemps n’ont plus de ravitaillement et s’épuisent vite. Il semble que des allemands se soient portés à leur poursuite.

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Camp axe : 1PAG (victoire écrasante)
Camp allié : 1PAG (victoire écrasante)
Schreiner : 2PA (petite victoire)
Linkrouge, DazF, Pierre De Maissance : 1PA (petite défaite)
Pierre De Maissance : 2PA (petite victoire)
Low, Kroenen : 5PA (victoire écrasante)
Linkrouge, DazF, Simonds : 5PA (victoire écrasante)